Vous avez sûrement déjà été déçu par le traducteur de Google ou celui de Bing, ou tout autre que vous pouvez trouver de nos jours sur Internet. Malgré leur fort potentiel, des failles existent, surtout lorsqu'il s'agit de langues très éloignées l'une de l'autre et donc le corpus n'est pas aussi similaire ; tel est le cas, par exemple, pour le français et l'anglais.
Si c'est le cas, vous ne serez sûrement pas déçu (encore) par le lancement très récent (août 2017) d'un concurrent à la hauteur, et qui pourrait même leurs faire de l'ombre, je nomme DeepL, édité par la société éponyme, à l'origine de Linguee.
DeepL est, d'après les tests effectués, 3 fois meilleur que ses concurrents. Les résultats sont basés sur BLEU (Bilingual Evaluation Understudy), référence en matière de traduction, où la comparaison se fait entre les résultats de l'ordinateur et ceux d'un traducteur humain.
Les résultats de DeepL sont d’une exactitude et d’un naturel inégalés.
La puissance de calcul de DeepL est de 5,1 Péta FLOPS (soit 5'100'000'000'000'000 opérations par seconde). Le superordinateur est basé en Irlande.
Actuellement, DeepL propose des traductions entre 7 langues (42 combinaisons) : français, anglais, allemand, espagnol, italien, polonais et néerlandais. Les réseaux neuronaux de DeepL s’entraînent déjà sur d'autres langues. La société prévoir de lancer une API dans les mois qui viennent pour permettre l'utilisation de leur traducteur par des tierces parties.
Pour plus de détails sur l'architecture de DeepL, visitez leur site : https://www.deepl.com/press.html
Pour tester le traducteur, visitez : https://www.deepl.com/translator